
Pardon, « l’injection volontaire et continue de particules réfléchissantes dans la stratosphère en vue de stabiliser le réchauffement global » , pas « chemtrail » ça fait complotiste non ??!! Bien sur tout ceci n’est pour l’instant qu’un projet hypothétique, une « nouvelle idée » comme vous le lirez ici, « les chemtrails n’existent pas » qu’on vous dit !! La géo-ingénierie n’est encore qu’une idée, il n’y a pas d’épandages de produits dangereux pour nous et notre planète dans nos cieux, ça n’existe pas !!! Qui serait assez fou pour penser à jouer avec le climat ? Arrêtez de lire la complosphère !! Si vous pouviez arrêter de penser aussi d’ailleurs … Ahhh ! c’est déjà le cas d’une majorité de la population ??? Bon bein parlons de sujets sérieux : y’a quoi ce soir sur TF1 ?? Z
Selon une nouvelle étude, l’injection volontaire et continue de particules réfléchissantes dans la stratosphère en vue de stabiliser le réchauffement global conduirait à des perturbations climatiques importantes. Et cela même si ces injections étaient effectuées de façon stratégique – c’est-à-dire pensées afin de minimiser les impacts négatifs révélés par des études précédentes.
À mesure que la planète continue de se réchauffer en réponse aux émissions de gaz à effet de serre (GES), un intérêt croissant se développe au sujet des solutions alternatives censées limiter l’ampleur du changement climatique. Plutôt que de réduire de façon rapide et drastique la consommation d’énergies fossiles, il serait par exemple théoriquement possible de refroidir artificiellement le globe en maintenant un voile de particules de sulfates dans la stratosphère. En augmentant la réflexion du rayonnement solaire vers l’espace, elles permettraient de compenser approximativement le réchauffement*, et laisseraient plus de temps pour une transition vers des énergies alternatives. Ces pratiques de géo-ingénierie visant à augmenter le pouvoir réfléchissant de notre planète ont été proposées depuis plusieurs décennies, et les conséquences potentielles de leur mise en application ont été le sujet de nombreuses études depuis lors.
Ces dernières se basent essentiellement sur des modèles de climat plus ou moins complexes, dans lesquels sont prescrites des injections continues de particules sulfatées. Bien qu’en moyenne globale, les modèles indiquent que la température pourrait être stabilisée, cela ne serait pas forcément le cas régionalement et/ou suivant la saison considérée. Certaines régions resteraient anormalement chaudes tandis que d’autres, comme les tropiques, se refroidiraient de façon excessive. Les recherches ont également mis en évidence l’apparition d’effets secondaires. On peut mentionner le risque de perturbations substantielles des régimes de moussons, ou encore la diminution du rayonnement solaire perçu en surface et ses effets négatifs sur la photosynthèse. En outre, les problèmes environnementaux directement liés à la présence croissante de dioxyde de carbone, tels que l’acidification des océans, se poursuivraient.
De nouvelles idées ont été pensées pour limiter les effets collatéraux. Par exemple des injections d’aérosols sulfatés qui seraient spatialement réparties de façon stratégique, dans le but de minimiser l’impact sur le gradient thermique entre les tropiques et les pôles – et donc les conséquences sur la circulation atmosphérique et les régimes thermiques ou pluviométriques associés.
Toutefois, cette stratégie semble seulement déplacer le problème. En effet, une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Geoscience ce 29 octobre s’est penchée sur cette idée. Les chercheurs ont utilisé un modèle numérique sophistiqué, et ont produit pas moins de 20 simulations afin d’anticiper au mieux la réponse du système climatique à un épandage de ce type. Si les scientifiques concluent qu’il y aurait bien une diminution des impacts délétères sur les pluies continentales et sur les asymétries thermiques mentionnées précédemment, d’autres modulations non désirées apparaissent. Par exemple, la diminution des précipitations sur l’océan atlantique nord, qui deviendrait alors plus salé. Une tendance qui aboutirait à une accélération de la circulation océanique thermohaline. Or, puisque cette dernière transporte d’importantes quantités de chaleur vers les pôles, une intensification de celle-ci se solderait par la poursuite du réchauffement océanique en sub-surface aux latitudes polaires – en particulier au sud du Groenland.
En conséquence, la fonte des glaces continentales de l’Arctique mais aussi de l’Antarctique se poursuivrait, tout comme la hausse du niveau des mers, quand bien même cela se ferait probablement à un rythme moindre que dans le cas d’un réchauffement global non contrôlé. De manière plus générale, l’étude souligne le fait qu’il reste de grandes incertitudes sur les réponses du système climatique à une modulation artificielle de l’albédo de la planète. Ces réponses ne peuvent d’ailleurs qu’être estimées approximativement par la simulation numérique, forcément imparfaite. Dans un système physique aussi complexe, il est probable que la réaction réelle et subtile du climat à de telles pratiques continuera de nous échapper, malgré les éclairages apportés par les progrès de la modélisation. Par ailleurs, de nombreuses questions éthiques sous-tendent ces techniques controversées…
* Notons que si rien n’est fait en parallèle pour diminuer ou stabiliser la concentration de GES dans l’atmosphère, l’arrêt des techniques de gestion du rayonnement solaire – pour une raison X ou Y – après quelques décennies se solderait par le retour à l’équilibre ultra-rapide du système climatique par rapport aux quantités de GES présents. Autrement dit, un réchauffement global très soudain et une réorganisation abrupte du cycle de l’eau ainsi que des circulations atmosphériques et océaniques. On parle à ce titre d’effet rebond dans la littérature. Cela aurait à ne pas en douter des conséquences dramatiques.
source SP
« Hallucinant. Comment JP Morgan vient de faire main basse sur l’or de la Banque de France !! »
Ça me dit rien qui vaille du tout …. Z
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Lorsque Donald Trump arrive en France et nous demande de payer la taxe de la protection américaine, l’idée de souveraineté doit vous venir à l’esprit.
Lorsque les Américains, qui, comme tout le monde le sait, nous aiment profondément et sont nos alliés historiques, mettent à l’amende à coup de dizaines de milliards d’euros nos entreprises et rapinent notre peuple (spolié dans toute sa diversité), le concept de souveraineté devrait résonner dans nos esprits.
Il y a deux facteurs essentiels pour assurer sa souveraineté.
Le premier est d’avoir la sagesse d’être fort, ce qui n’empêche pas que la force soit d’être sage. Cela passe par la détention de moyens suffisamment puissants de dissuasion. Attaquer la France doit avoir un tel coût que mieux vaut ne pas s’y frotter.
Le second, c’est d’avoir toujours à l’esprit que la main qui reçoit est toujours située en dessous de celle qui donne. En clair ? Il faut avoir les moyens de sa liberté et cela passe par une saine gestion.
Justement, sur ce dernier point, nous venons, dans l’opacité la plus totale, de donner les clefs de nos coffres gorgés de l’or du peuple de France à la banque américaine JP Morgan, qui va s’installer directement dans les sous-sols de la Banque de France pour administrer l’or détenu… Situation évidemment surréaliste.
L’or, comme chacun le sait, ne sert à rien, c’est une relique barbare que néanmoins toutes les nations et toutes les banques centrales du monde prennent grand soin d’accumuler.
Toutes ? Toutes, sauf la Banque de France !
« L’institution a ouvert un compte à JP Morgan pour réaliser des transactions sur l’or qui est stocké dans son sous-sol. Objectif : faire de la capitale une place incontournable sur le métal jaune.
C’est une petite révolution dans le milieu très discret du trading sur l’or. La Banque de France a ouvert un compte à un établissement commercial privé afin de faciliter les transactions sur le métal précieux à Paris. L’institut de la rue la Vrillière n’a pas choisi n’importe quel établissement : ce compte-or a été accordé à JP Morgan, le leader mondial du marché. L’accord, qui n’avait encore jamais été révélé, a été formalisé en début d’année, selon nos informations.
Il marque une étape importante dans le développement des prestations offertes par la Banque de France à sa clientèle de banques centrales étrangères. Ses équipes, qui travaillaient sur ce projet depuis plusieurs années, peuvent désormais fournir des services de dépôts rémunérés (« gold deposits »), de swaps-or-contre-devises, de prêts et leasing d’or dans la capitale française. «Il s’agit de rendre liquide l’or qui se trouve à Paris», résume un connaisseur. Mais pas tout le stock : l’or de la clientèle essentiellement. Les réserves de l’État français devraient, elles, être exclues de ces transactions…» »
Vous apprécierez la précision de l’expression : « Les réserves de l’État français devraient »
Il y a de fortes chances que cet accord, tenu pour le moment secret, conduise à la mise en place de prêts sur l’or de la France.
Il est évident que la représentation populaire devrait enquêter, qu’un tel accord commercial devrait être rendu public, que des points de contrôles soient bien définis, et vérifiés régulièrement.
Tenez, pincez-vous !
« En s’associant à JP Morgan, la Banque de France va multiplier les débouchés et toucher toute une gamme d’acteurs du marché avec lesquels elle ne peut pas traiter en direct, comme les raffineurs ou les compagnies minières. Ce partenariat est stratégique pour donner une véritable impulsion aux opérations de prêts d’or à Paris, sur lesquelles l’institution monétaire prélèvera au passage une commission. De son côté, JP Morgan va accéder à l’or des institutions étrangères conservé dans le sous-sol parisien. Ce contrat devrait sans doute aussi permettre à l’établissement américain d’exécuter des transactions avec ses clients en déposant le métal dans la «Souterraine». Avec le transfert de ses activités de billets à La Courneuve, la Banque de France a en effet libéré de l’espace dans son sous-sol. »
Paris nouvelle place de l’or ?
« Le réveil de l’or à Paris peut-il faire vaciller Londres ? Personne n’y songe, car même le Brexit ne semble pas pouvoir remettre en cause la suprématie historique de la capitale anglaise. Certains établissements, informés de l’initiative de la Banque de France, préfèrent d’ailleurs attendre. «Paris pourrait progressivement redevenir une place importante pour l’or», déclare néanmoins Sylvie Goulard. Selon JP Morgan, la capitale française bénéficie d’une situation géographique attrayante et d’un bon réseau de transport avec le reste de l’Europe et avec l’ensemble des participants de marché mondiaux »…
L’idée de voir la France s’intéresser à nouveau à l’or n’est évidemment pas pour me déplaire, et je ne peux qu’applaudir en voyant la Banque de France investir et rénover nos propres moyens de stockage.
Je ne peux que me réjouir de voir l’or mis au centre de la réflexion, et cela devrait d’ailleurs nous interroger en tant qu’épargnant sur la place que doit avoir l’or dans nos patrimoines respectifs alors que toutes les banques centrales se replacent à l’achat.
Néanmoins, en tant que citoyen, je suis très, très inquiet de voir ce contrat signé dans l’opacité la plus totale avec la JP Morgan qui est la banque qui détient le commerce de l’or dans le monde.
Elle est américaine, et depuis des années, les États-Unis rapinent systématiquement l’or de toutes les nations du monde.
C’est aux Français de protéger l’or durement acquis de génération en génération.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles SANNAT
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Publié par Z le 12 novembre 2018 dans économie, général, or et argent métal
Étiquettes : Comment, faire main basse sur, Hallucinant, Jp Morgan, la Banque de France, L’or de, vient de